- Connectique
- Traitement vidéo
- Compatibilité 1 080p/24
- Esthétique et finesse du cadre
- Homogénéité du rétroéclairage
- Gestion Deep Color, CEC et Auto LipSync
- Manque de fluidité
- Pas de tuner TNT HD
- Rouge exagéré par défaut
- Pas de gestion du xvYCC
Chez Toshiba, les modèles de la gamme XF se distinguent des autres téléviseurs par leur taille d’image et leur esthétique. Ils rompent totalement avec les standards de la marque. Ainsi, ce modèle abandonne la dalle 47’’ au profit d’une version 46’’, appréciable pour son homogénéité dans les basses lumières, son angle de vision et son revêtement mat, particulièrement efficace contre les reflets. Mais le plus enthousiasmant, c’est évidemment la finesse du cadre. Éteint, l’appareil se fait très discret. Toshiba annonce d’ailleurs que ce modèle est d’un encombrement similaire à un modèle 42’’ standard… Allumé, l’image apparaît tout simplement en lévitation… Autre remarque, l’équipement n’est pas en reste. La dalle est un modèle Full HD (1 920 x 1 080 pixels) et la connectique comprend trois entrées HDMI dont une latérale avec CEC, Auto LipSync et Deep Color. Par contre, le tuner TNT intégré n’est pas compatible haute définition mais il propose une sortie audio numérique optique (pour le Dolby Digital de la TNT) et un port CI (pour accéder aux chaînes numériques payantes). Enfin, si le traitement vidéo oublie la compensation de mouvements, il excelle dans l’exercice du désentrelacement et de l’Upscaling, même s’il faut sélectionner manuellement le bon réglage (vidéo ou film)… Quant à l’image, malgré une fluidité perfectible, elle est d’excellente facture. Après avoir calmé les ardeurs du rouge, on apprécie la dynamique et de beaux noirs.
- référence Toshiba 46XF355D
- diagonale de l'image 116
- standard HD Ready 1[s]080p
- résolution native 1 920 x 1 080 pixels
- 100 Hz non
- contraste 10 000
- 100 Hz non
- réception télétexte, PAT, PAP, Infos+, EPG, TNT (simple tuner SD, chaînes payantes via CI)
- connectique 3 entrées HDMI (v 1.3, dont 2 arrières et 1 latérale), 1 entrée YUV (RCA), 1 entrée Data (Sub-D15), 2 entrées péritel (1 RVB et 1 S-vidéo), 1 entrée Stéréo + Comp. + S-vid. (latérale), 1 sortie casque (latérale), 1 sortie audio stéréo, 1 sortie audio numérique (optique), 1 sortie subwoofer, 1 port CI, lecteur de cartes mémoire (SD/MMC, Memory Stick, Smart Media/xD, Compact Flash), 1 port Ethernet, Wi‑Fi (), CPL
- compatibilité NTSC (480i, 480p), Pal (576i, 576p), HD (720p/50, 720p/60, 1 080i/50, 1 080i/60), Full HD (1 080p/24, 1 080p/50, 1 080p/60), Ultra HD (2 160p/24)
- usage télécommande simple, CEC, Auto Lipsync, Deep Color, Super 4/3, 4/3, 14/9, 16/9, Zoom Letterbox, Zoom Letterbox sous-titres, Overscan
- réglage température de couleur (préréglage), balance des blancs paramétrable (CMJRVB), rétroéclairage (dynamique), renforcement du contraste (dynamique), désentrelacement (vidéo/film) manuel
- réducteur de bruit D NR, Mpeg NR
- optimisation de la netteté dans les mouvements en Ultra HD (2 160p/24
- compensation de mouvement en Ultra HD (2 160p/24)
- son puissance (2 x 10 W), décodeur (PCM), ARC, eARC, processeur surround (SRS Wow), traitement audio (Bass Boost), AVL
- consommation 291 W(0,5 W en veille)
- dimensions l. 1 070 x h. 713 x p. 302mm
- poids 34,2kg
Le segment des LCD 46/47’’ avec résolution de 1 920 x 1 080 pixels (dalle Full HD) est assez concurrentiel. Et à plus de 2 000 €, on entre dans la catégorie des appareils haut de gamme, avec TNT HD, compensation de mouvements, 100 Hz, etc. Les arguments esthétiques suffiront-ils face à des Philips 47PFL9632, Samsung LE46F86, Sharp LC-46XL2 ou Sony 46W3000 ?
- référence Toshiba 46XF355D
- diagonale de l'image 116
- standard HD Ready 1[s]080p
- résolution native 1 920 x 1 080 pixels
- 100 Hz non
- contraste 10 000
- 100 Hz non
- réception télétexte, PAT, PAP, Infos+, EPG, TNT (simple tuner SD, chaînes payantes via CI)
- connectique 3 entrées HDMI (v 1.3, dont 2 arrières et 1 latérale), 1 entrée YUV (RCA), 1 entrée Data (Sub-D15), 2 entrées péritel (1 RVB et 1 S-vidéo), 1 entrée Stéréo + Comp. + S-vid. (latérale), 1 sortie casque (latérale), 1 sortie audio stéréo, 1 sortie audio numérique (optique), 1 sortie subwoofer, 1 port CI, lecteur de cartes mémoire (SD/MMC, Memory Stick, Smart Media/xD, Compact Flash), 1 port Ethernet, Wi‑Fi (), CPL
- compatibilité NTSC (480i, 480p), Pal (576i, 576p), HD (720p/50, 720p/60, 1 080i/50, 1 080i/60), Full HD (1 080p/24, 1 080p/50, 1 080p/60), Ultra HD (2 160p/24)
- usage télécommande simple, CEC, Auto Lipsync, Deep Color, Super 4/3, 4/3, 14/9, 16/9, Zoom Letterbox, Zoom Letterbox sous-titres, Overscan
- réglage température de couleur (préréglage), balance des blancs paramétrable (CMJRVB), rétroéclairage (dynamique), renforcement du contraste (dynamique), désentrelacement (vidéo/film) manuel
- réducteur de bruit D NR, Mpeg NR
- optimisation de la netteté dans les mouvements en Ultra HD (2 160p/24
- compensation de mouvement en Ultra HD (2 160p/24)
- son puissance (2 x 10 W), décodeur (PCM), ARC, eARC, processeur surround (SRS Wow), traitement audio (Bass Boost), AVL
- consommation 291 W(0,5 W en veille)
- dimensions l. 1 070 x h. 713 x p. 302mm
- poids 34,2kg
Mitigé, c’est l’avis que nous avons de ce téléviseur. Ce modèle brille par ses compatibilités, ses réglages et sa connectique. Il fascine également par son esthétique et surtout c’est une excellente solution pour celles et ceux qui cherchent la plus grande image possible dans le minimum d’encombrement. Imaginez : 117 cm de diagonale d’image avec l’encombrement d’un écran 42 pouces… Sauf que son image demande une étape de calibrage pour éliminer les rouges fluo. Il ne parvient pas non plus à juguler les saccades dans les mouvements…
Par contre, son traitement vidéo est plutôt doué à l’exercice du désentrelacement et de l’Upscaling et ce, même s’il faut parfois manuellement forcer le mode cinéma pour parfaire le rendu. Il propose également la gestion du CEC, du Deep Color et de l’Auto Lipsync. Il accepte sans broncher le 1 080p, en 24, 50 ou 60 Hz. Il présente un assez bon angle de vision et surtout une belle homogénéité avec une dynamique intéressante. Les blancs ne sont jamais brûlés, les noirs sont détaillés. Reste les tons chair, par essence difficiles à maîtriser à cause du problème de rouge. Ses performances audio, d’un bon niveau, viennent parfaire le tableau. Bref, un bilan plutôt positif.