Réponse : oui. Non seulement son esthétique minimaliste faite d'écrans à la Big Brother, de chiffres qui défilent et de bureaux impersonnels ose une proposition unique en son genre qui détonne aujourd'hui dans le monde sériel et même au cinéma (peut‑être pas chez Quentin Dupieux…), mais a le bon goût de ne pas livrer toutes les clés, de ne pas prémâcher le travail du spectateur, mieux, de lui faire confiance… quitte à perdre du monde en cours de route. Critique d'un ovni à découvrir en cliquant sur Severance saison 2.
le 24 mars 2025 - 17h48
Severance saison 2, des défauts mais beaucoup plus de qualités
Quelque part entre Orwell, les surréalistes et Twin Peaks pour ses mystères bien épais et son tempo piano piano, Severance livre enfin quelques pistes « claires » de réflexion en saison 2. Au‑delà des fans de la première heure, faut‑il plonger dans la matrice Severance, au risque de s'y perdre ?
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Britt Lower et Adam Scott dans Severance @ Apple TV+
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