Dans un futur proche, Mickey Barnes, un « consommable », est engagé pour tester les dangers auxquels l'humanité est confrontée dans sa volonté de coloniser une planète de glace.
Darius Khondji à la photographie, Robert Pattinson devant la caméra, le premier film américain de Bong Joon‑Ho, cinq ans après Parasite, propose une première partie tout bonnement géniale et un terrain de jeu assez jouissif pour Pattinson, qui livre ici une performance de haut vol.
Mickey 17, décollage en douceur
Si le message politique trop binaire ne passe pas tout le temps en seconde partie malgré la belle prestation de Mark Ruffallo en ersatz de Trump, cette fantaisie signée Bong Joon‑Ho, qui démarre doucement au box‑office US (il a pour le moment généré que 53,3 millions de dollars mais devrait atteindre entre 275 et 300 millions de dollars à l’échelle mondiale pour être rentable), méritera bien son édition 4K Steelbook, rien que pour sa beauté formelle indéniable. Les précommandes sont déjà ouvertes chez Warner, plus d'informations dès que possible.
Critique complète à découvrir en cliquant sur Mickey 17.
