le 28 juin 2024 - 08h27

Messiah of Evil : petit bijou d’horreur Seventies à (re)découvrir d’urgence

Après la réception d’une lettre énigmatique de son père, Arletty (Marianna Hill) se rend à Point Dune, sur le côte californienne, afin de lui rendre visite. Elle retrouve la maison vide et décide de partir à sa recherche. La ville déserte devient bientôt le théâtre d’événements étranges.

A

Avec son atmosphère malaisante, ses percées ténébreuses et son échantillon de personnages inquiétants, Messiah of Evil abolit la frontière entre la réalité et le cauchemar éveillé. Dans le sillage de Carnival of Souls (Herk Harvey, 1962) et Let’s Scare Jessica to Death (John D. Hancock, 1971), cette œuvre poétique et morbide de 1973 réalisée avec un budget dérisoire par le couple Willard Huyck et Gloria Katz (les scénaristes d’American Graffiti et d’Indiana Jones et le temple maudit) se range parmi les grandes raretés du cinéma d’horreur.



Des pépites chez les éditeurs indé


Disponible en précommande en Blu‑Ray chez l'éditeur indé Le chat qui fume, Messiah of Evil est proposé en version anglaise DTS‑HD Master Audio 2.0 avec sous‑titres français, au format d’image 2.35. En suppléments, un entretien du réalisateur Willard Huyck (37 minutes), Ce que la lune de sang apporte : Messiah of Evil, un cauchemar américain (57'), Le gothique américain et l’hystérie féminine (22'). Prix indicatif : 25 euros.

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