Construite en 1941 par Paul Williams, architecte star de la période qui fut le premier membre afro‑américain de l'American Institute of Architects et fin conaisseur des châteaux français, du style Régence et même méditerranéen, cette maison rénovée en 2010 n'a rien de contemporain ou de véritablement bling‑bling. C'est surtout son gigantisme qui impressionne et son charme presque désuet. Sur un terrain de près de 6 000 m2, la propriété Roger (c'est son nom) ressemble presque à un village à elle toute seule.
S'il y a des carpes Koi…
Au menu, des loggias privées, une piscine/spa, un green, un sauna sec, un étang de carpes Koi avec cascade et surtout trois structures distinctes totalisant environ 1 600 m2 d'habitation. La maison principale dispose de trois suites, deux suites parentales, deux logements du personnel, sept salles de bains, trois salles d'eau, un salon avec plafonds voûtés, une cuisine de chef, un bureau et surtout un Home Cinéma plutôt cosy avec bar et cave à vin.
On vous passe la maison d'hôtes dotée d'une entrée privée et d'un garage deux voitures, le court de tennis, la piste de bowling vintage intérieure, la salle de billard, etc, etc, etc. Le prix ? 20 millions de dollars. Le prix d'un confinement au paradis. Plus de photos et d'infos sur le site de l'agence immobilière Douglas Elliman.