Alors que l’IA que l’on connaît aujourd’hui sait se focaliser sur une tâche en particulier, l’IAG ‑ou intelligence artificielle générale‑ peut s’appliquer sur une large sélection de tâches. En résumé, l’IAG peut comprendre, apprendre et appliquer ses connaissances dans plusieurs domaines, à la manière d’un humain.
Faut-il les Nations Unies de l'IA ?
Et selon un récent article du laboratoire Google DeepMind, l’IAG arrivera au plus tôt en 2030 et sera capable de « détruire l’humanité de manière permanente ». Comment ? L'article ne l’explique pas vraiment, se concentrant plutôt sur les mesures préventives que Google et les autres spécialistes de l’IA doivent prendre pour réduire la menace posée par l’IAG.
En février déjà, Demis Hassabis, PDG de DeepMind, expliquait qu’il était nécessaire de monter une structure internationale façon Nations Unies pour superviser le développement de l’IAG, qui sera aussi intelligente voire davantage qu’un humain.