Veuve, Margaud (Emmanuelle Béart) s’installe chez sa sœur et entreprend des études de littérature. Mais la nouvelle vie à laquelle elle aspire passe aussi par d’autres émotions, des rencontres sensuelles avec des inconnus et une amitié naissante avec Aurélien (Vincent Dedienne), un étudiant un brin mélancolique.
Une sorte de Belle au Bois Dormant qui se réveille…
L’étreinte, premier long métrage signé et mis en scène par le comédien, réalisateur et scénariste Ludovic Bergery (L’antiquaire, Ne le dis à personne), signe le grand retour d’Emmanuelle Béart.
L’actrice, absente du grand écran depuis Merveilles à Montfermeil (2018), a pour la première fois de sa carrière accepté le rôle principal sans lire le scénario, en se fiant uniquement au puissant portrait de femme que lui brossait Ludovic Bergery. Une femme que Ludovic Bergery définit comme « une sorte de Belle au Bois Dormant qui se réveille dans un monde où plus aucun tissu social ne pèse sur elle […] Elle se retrouve libre de ses mouvements, de chercher, de s’égarer, avec tout ce que cette liberté comporte de risque, d’expériences malheureuses et aussi […] de sensualité fulgurante ».
Une nouveauté méconnue
Bien que porté par un bel élan critique, L’étreinte, sorti post‑confinement mi‑mai, n’a pas forcément rencontré son public. Pyramide Vidéo sortira le film en deux temps. Première vague avec une sortie VOD et achat digital le 19 août, puis édition simple DVD le 25 août. L’étreinte sera enrichie de deux bonus : le court métrage L’accara rouge (18 minutes), première réalisation de Ludovic Bergery, ainsi qu'un entretien en duo avec Emmanuelle Béart et Ludovic Bergery (11 minutes).