Outre la série documentaire signée National Geographic dont nous avons déjà parlé et disponible à partir du 24 juillet (voir Père et fils au bout du monde), la plateforme de streaming nous réserve une comédie musicale de Broadway plusieurs fois primée, Hamilton. Capté par Thomas Kail et inspiré du livre Alexander Hamilton de Ron Chernow, le musical retrace de manière totalement contemporaine l’histoire des États‑Unis à travers le parcours de l’un de ses pères fondateurs sur une bande‑son hip‑hop, jazz et R&B.
Semaine du 3 juillet
- Hamilton - version originale sous-titrée en anglais (live)
- À nous quatre (film)
- MARVEL : Agent Carter saison 1 (série)
- Urgences animales saisons 1 & 2 (doc)
- La route de l’enfer : Norvège (doc)
Semaine du 10 juillet
- Eddie the Eagle (film)
- MARVEL : Agent Carter saison 2 (série)
- Les cités perdues d’Albert Lin saison 1 (doc)
Semaine du 17 juillet
- Destination Wild : Chili saison 1 (doc)
- Destination Wild : les macaques japonais (doc)
Semaine du 24 juillet
- La Belle et la Bête (film live-action 2017)
- Clochette et la fée pirate (film)
- Penny sur M.A.R.S saisons 1 & 2 (série)
- Destination Wild : Congo saison 1 (doc)
- Père et fils au bout du monde (doc)
Semaine du 31 juillet
- Lorenzo (film)
- Le mariage de Raiponce (film)
- Paperman (film)
- La ballade de Nessie (film)
- Le festin (film)
- Sonny saisons 1 à 3 (série)
- Les rois de la pêche saison 1 (doc)
- De l’ombre à la lumière : la chasse au yeti Jeux des gros chats (doc)
- Le berceau des civilisations (doc)
À noter aussi, les pépites du mois déjà disponibles à redécouvrir en famille : Basil détective privé, Le gang des chaussons aux pommes, Hocus Pocus et Des arbres et des fleurs, premier cartoon en couleurs du studio Disney, qui tire son nom au passage du village d'Isigny‑sur‑Mer en Normandie où vivaient les ancêtres du célèbre créateur du studio et qui donna, après anglicisme, « Disney ». Premier court métrage de la série Silly Symphonies de 1932, Des arbres et des fleurs servit notamment de test à l'emploi de nouvelles technologies qui allaient infuser le tout premier long métrage du studio, Blanche‑Neige et les Sept Nains.