Vampire Academy
Spécialiste de la comédie vaguement sexy (Hanté par ses ex), et/ou vaguement fantastique (Les chroniques de Spiderwick), et/ou vaguement romantique (Et si c'était vrai...), Mark Waters ne sait toujours pas sur quel pied danser avec ce Vampire Academy, à mi‑chemin entre Harry Potter, la saga Twilight et toutes ces séries à base de sang et de crocs (True Blood, Vampire Diaries…).
Mais à vouloir tout faire, on n'aboutit à rien. Et pas sûr que les aventures rocambolesques de cette école de vampires façon Poudlard captivent les foules. Zoey Deutch et Lucy Fry ont beau être mignonettes, leurs histoires de cœur bien platoniques (un comble pour des vampires) montées sans queue ni tête ont comme un goût de rien. Et c'est bien là le problème. Brouillon et insipide.