The Phantom
Étudiant sans relief, Kit Walker (Ryan Carnes) mène une petite vie paisible, entre drague occasionnelle et le yamakazi, son hobby favori. Mais un jour, sa vie bascule lorsqu’une mystérieuse organisation lui révèle qu’il est le fils du Phantom, super‑héros légendaire et combattant pour le Bien. À la manière de Green Lantern, le voilà embarqué dans un monde parallèle dans lequel il devra combattre les Singh, une tribu maléfique.
Après Batman et Superman, The Phantom fut l’un des tout premiers héros des D.C Comics. Né au milieu des années 1930 sous le trait de Lee Falk (le créateur de Mandrake le magicien), et traduit en France sous le titre du Fantôme du Bengale, The Phantom version 2009 est un téléfilm en deux parties et doit se voir pour ce qu’il est : un divertissement honnête qui, hormis sa transposition dans le monde contemporain (l’histoire originale se déroule au milieu du XVIe siècle) ne brille pas par son originalité. Cela dit, cette mini‑série respecte le cahier des charges du genre : séquences d’action honorable, acteurs potables et morale sauve. Pourquoi pas ?