The Bye Bye Man
À peine installés dans une vieille demeure proche de leur campus, trois étudiants ont affaire à d’étranges phénomènes. De toute évidence, la maison est hantée par une entité démoniaque.
« Don’t say it, don’t think it ». Voici la formule magique supposée rompre la malédiction en cours dans une bâtisse désuète de Cleveland. Quelques séquences de manipulation visuelle plus tard ‑derrière son allure de white trash encapuchonné, le fameux archange de la mort flanqué d’une créature mi‑canine mi‑ogre trompe ses futures proies à coups de faux‑semblants‑ l’intention horrifique s’embourbe dans une série d’effets grotesques et prévisibles, que ni la présence de Faye Dunaway ni la version non censurée ne pourront recadrer. Un cauchemar.