par Carole Lépinay
04 janvier 2017 - 18h29

Synchronicity

année
2015
Réalisateur
InterprètesChad McKnight, Brianne Davis, AJ Bowen, Scott Poythress, Michael Ironside, Claire Bronson
éditeur
genre
notes
critique
3
10
A

À la tête d'un projet scientifique laborieux, Jim Beale (Chad McKnight) voit sa persévérance récompensée le jour où il décèle le secret d'un passage vers une autre dimension. Malgré la réticence de son équipe, le chercheur décide de servir de cobaye lors de leur première expérimentation et fait la connaissance d’Abby (Brianne Davis), une ravissante jeune femme aux intentions douteuses.

Excepté un générique tout en chromatique et nappes synthétiques accrocheuses, le monde cyberpunk élaboré par le réalisateur de The Signal (2007) peine à introduire clairement le territoire ambigu de sa quête cosmogonique. Ainsi, l’idée d’une nouvelle perspective temporelle côtoie automatiquement celle d’un espace‑temps intime voué, à son tour, à la répétition. Matrix et son principe de bégaiement métaphysique sont certainement passés par là.

Reste qu’en dépit de l’étroite collaboration entre Gentry et Sean Carroll (un astrophysicien calé en la matière), Synchronicity entreprend un horizon parallèle trop ambitieux et complexe pour ses faibles ressources scénarisitques (mais pas visuelles). Dommage.

sur les réseaux
proposer une vidéo
test
blu-ray
cover
Tous publics
Prix : 14,99 €
disponibilité
21/11/2016
image
BD-50, 134', zone B
2.40
HD 1 080p (AVC)
16/9
bande-son
Français DTS-HD Master Audio 5.1
Anglais DTS-HD Master Audio 5.1
sous-titres
Français
7
10
image
Sur le plan visuel au moins, le spectateur ne sera pas trop déçu avec cette image qui joue à fond la carte graphique. L'ambiance est joliment bleutée et le rendu se veut digne de productions de plus gros calibre. Sans y parvenir réellement, le réalisateur assume ses partis pris : la surexposition permanente, les hommages, le tournage majoritairement en intérieurs. Les défauts sont relativement peu nombreux sauf sur les extérieurs et les images générées par ordinateur, vraiment bas de gamme. On a aussi parfois l'impression de voir le film à travers un filtre, sans que cela ne soit terriblement gênant par ailleurs.
7
10
son
Un son enveloppant davantage basé sur l'immersion et les nappes symphoniques que sur les effets futuristes balancés dans tous les sens. Ce qui n'empêche pas quelques scènes de sortir du lot avec le réveil du caisson en prime. VO ou VF, le mixage est le même. À vous de choisir.
0
10
bonus
- Aucun
L'éditeur y croit, visiblement.
en plus
soutenir
Recevez l’actualité tech et culture sur la Newsletter cesar
Inscrivez-vous
OK
Non merci, je suis déjà inscrit !