par Éric Le Ven
30 mai 2014 - 15h12

Supercondriaque

année
2014
Réalisateur
InterprètesDany Boon, Kad Merad, Alice Pol
éditeur
genre
notes
critique
5
10
A

Romain Faubert, photographe pour un dictionnaire médical en ligne, est hypocondriaque. Ce qui le rend insupportable et le prive de toute relation sociale, hormis celle avec son médecin traitant. Mais suite à un quiproquo lors d'une mission humanitaire, il est pris pour un héros de guerre du Tcherkistan et trouve l'amour...

Après 45 minutes interminables pendant lesquelles Dany Boon nous montre à quel point son personnage principal est névrosé, le film prend une autre tournure. Plus drôle et plus rythmée, heureusement.

C'est en effet lorsque le minable et insupportable Romain Faubert est pris pour un dur à cuir, lorsque le trouillard frénétique cède sa place au héros romantique, que le film devient intéressant et drôle. Dans le sillage des comédies de Pierre Richard des années 80.

Reste que cette production rutilante a coûté la bagatelle de 31 millions d'euros. Ce qui n'en fait pas forcément un classique du genre. L'avenir nous le dira.

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Tous publics
Prix : 19,99 €
disponibilité
26/06/2014
image
BD-50, 107', zone B
2.35
HD 1 080p (AVC)
16/9
bande-son
Français DTS-HD Master Audio 7.1
Français DTS-HD Master Audio 5.1
Français DTS-HD Master Audio 2.0
Français en AudioVision
sous-titres
Français pour malentendants, anglais
10
10
image
Splendide. Les couleurs sont flamboyantes, la définition impeccable, les contrastes puissants et les lumières magistralement orchestrées, de jour comme de nuit. Une remarquable photo et un niveau de qualité inespérée pour ce type de comédie.
8
10
son
Une piste 7.1 sur une comédie de Dany Boon ? Il fallait oser. Entièrement dévolue à la bande originale de Klaus Badelt enregistrée avec le London Metropolitan Orchestra (sans doute une grosse part du budget du film), cette piste 7.1 prend ses aises dès les premières images et propose une restitution joliment aérée. Sans pour autant que cela soit très spectaculaire. Vous aurez droit à quelques petits effets Surround ciblés, à deux ou trois déflagrations de basses lors de la séquence de l'évasion de la prison, mais pendant 80 minutes, cela reste très classique.
7
10
bonus
- Making of (28')
- Scènes coupées (7')
- Bêtisier (26')
- La tournée promo du film (7')
- Palais de justesse, court métrage de Stéphane De Groodt (11')
- Bande-annonce
Des suppléments joyeux et légers, et surtout un bêtisier tordant.
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