Sexy Dance 3
New York. De jeunes marginaux passionnés de danse ont trouvé refuge dans un loft pour tenter de concrétiser leurs rêves. Grâce à Luke (Rick Malambri), propriétaire des lieux, ils peuvent s’épanouir et espérer percer un jour. Néanmoins, malgré les efforts fournis par le jeune homme, les dettes s’accumulent et les murs si chers laissés par ses défunts parents ne tardent pas à être convoités.
L’unique moyen de surmonter cette mauvaise passe serait de participer au fameux Jam Mondial, une célèbre compétition de danse hip‑hop. L’entraînement acharné débute, avec une nouvelle recrue dans la communauté. À peine débarqué à l’université où il se prédestinait à être ingénieur, Moose (Adam G. Sevani) va lui aussi raviver la passion rythmique qui dormait en lui. Brillant et talentueux, il va tenter de souder le groupe afin de remporter la victoire contre leurs ennemis de toujours, les redoutables samouraïs. Que le battle commence.
Pas de surprises au détour de chorégraphies enflammées et parfaitement maîtrisées, et de shows hystériques dans la lignée de Street Dance et autres productions prenant la danse sur fond de R’n’B comme lien communautaire. Conformément à la tradition du battle, les groupes s’opposent, l’amitié se retrouve constamment mise à l’épreuve et le dépassement de soi devient une convention du genre. Certes, des valeurs qui font rêver, mais qui perdent un peu de leur puissance quand le son R’n’B devient assourdissant.