par Éric Le Ven
20 juin 2016 - 18h30

Person of Interest saison 4

année
2015
Créateur
InterprètesJim Caviezel, Michael Emerson, Kevin Chapman, Amy Acker
éditeur
genre
notes
critique
5
10
A

Diffusée en début d'année sur TF1, cette saison 4 a surtout été marquée par l'absence prolongée de Shaw (Sarah Shahi), blessée par balle au beau milieu de la saison et laissée pour morte par ses comparses. L'explication ? La comédienne était enceinte et a accouché de jumeaux. Elle sera de retour dans la saison 5 qui ne sera diffusée qu'au printemps prochain aux États‑Unis et qui sera la dernière.

En attendant, reste à apprécier la qualité de l'écriture de l'intrigue, le côté sec et musculeux des scènes d'action et la partition du compositeur Ramin Djawadi (également impliqué sur Game of Thrones, Prison BreakFlashforward).

Impossible, en revanche, de prendre la série en cours de route. Mieux vaut avoir visionné les saisons précédentes pour y trouver un quelconque intérêt.

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Tous publics
Prix : 24,99 €
disponibilité
27/04/2016
image
6 DVD-9, 42' par épisode, toutes zones
1.78
SD 576i (Mpeg2)
16/9 compatible 4/3
bande-son
Français Dolby Digital 2.0
Anglais Dolby Digital 5.1
sous-titres
Français
8
10
image
Ce coffret DVD bénéficie d'une excellente qualité d'image, de contrastes pointus et d'une définition en acier trempé. Chapeau !
7
10
son
Le doublage français n'est pas spécialement convaincant. En revanche, rien à dire sur la qualité des effets sonores et la restitution de la partition de Ramin Djawadi. Probante en stéréo, elle est évidemment plus voluptueuse sur la VO en 5.1.
5
10
bonus
- Music of Interest (19')
- Going Underground (5')
- Comic-Con 2014  (29')
- Bêtisier (3')
55 minutes de suppléments dont un excellent documentaire axé sur l'impact de la musique sur nos émotions, où la collaboration entre les producteurs de la série et le compositeur Ramin Djawadi (à l’œuvre dans son studio) est joliment détaillée. On assiste notamment à une session d'enregistrement de l'orchestre, composé majoritairement d’instruments à cordes. S’en suit un très court documentaire sur le décor d’un réseau métropolitain déserté, fief de Finch et pièce maîtresse de la série. Le bêtisier est loin d'être hilarant. Quant au module sur la conférence Comic-Con 2014, il permet de retrouver le producteur Greg Plageman et les acteurs, répondant aux questions de l'assistance. Petite remarque sur la position et la typologie des sous-titres franchement mal fichues (sous-titres blancs sur un fond gris, difficilement lisibles).
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