Love, Rosie
Avec ses faux airs de 4 mariages et 1 enterrement (sauf que la bonne copine aux cheveux rouges ne s'appelle pas Scarlett), Love, Rosie était à deux doigts de gagner ses galons de romcom hautement recommandable.
Sans aller jusque‑là pour cause d'écueils définitivement trop sucrés (c'est le moment de prendre votre dose de statine anti‑cholestérol), la fraîcheur de Lily Collins qui irradie l'écran d'un bout à l'autre, les nombreux titres pop émaillant la bande‑son et le petit détour par la chronique sociale permettent à Love, Rosie de s'adresser à un plus large public que son titre le laissait supposer.
L'histoire, qui se déroule sur une quinzaine d'années, suit d'anciens amis d'enfance qui mettront un sacré bout de temps avant de se rendre à l'évidence. Entre‑temps, les aléas de la vie, ses joies et ses peines. Une jolie bluette bien emballée.