Les deux mondes
Deux mondes parallèles. Le premier est habité par une tribu antique persécutée par un géant cannibale. Le second, c’est le nôtre, et accessoirement celui de Rémy (Benoît Poelvoorde), restaurateur de tableaux anciens. Un brave type, mari sympa et papa attentionné. Mais depuis quelque temps, Rémy a l’impression de se faire aspirer, que ce soit dans son canapé, dans son lit ou dans la cuisine de ses parents. Il subit en fait les invocations d'un peuple opprimé attendant désespérément son sauveur…
Moins exubérant et fantaisiste que Sa majesté Minor, Les deux mondes profite de quelques savoureux rebondissements et d’un Benoît Poelvoorde en grande forme, très amusant dans la peau d’un messie prêt à céder aux abus de pouvoir. Une distraction rigolote, pas prétentieuse pour un sou et gentiment barrée.