Le voile des illusions

Londres, 1920. Après s’être mariée par convenance à un homme qu’elle n’aime pas (Edward Norton), Kitty (Naomi Watts) part vivre à Shanghai où son époux doit mener des recherches. Rapidement, la jeune femme tombe sous le charme d’un autre homme (Liev Schrieber). Lorsque son mari découvre l’adultère, il propose un marché à Kitty…


Adapté d’un roman de Somerset Maugham, le film de John Curran mixe tous les ingrédients du parfait mélo. Décors exotiques, triangle amoureux, tromperie, jalousie, rupture et rédemption.


Tout y est, mais ça ne prend pas. Et ce n’est pas l’air constamment ahuri de Naomi Watts (on jurerait qu’elle voit King Kong à chaque séquence) qui pourra y changer quelque chose. Fade.