par Jean-Baptiste Thoret
02 février 2015 - 16h35

Le juge et l'assassin

année
1976
Réalisateur
InterprètesPhilippe Noiret, Michel Galabru, Isabelle Huppert, Jean-Claude Brialy
éditeur
genre
notes
critique
7
10
label
A

Parce qu’il vient d’essuyer un refus de mariage, Joseph tente d’assassiner sa fiancée, puis de se tuer. Mais il échoue en prison… Déclaré malade mental, il n’écope que d’un an et, dès sa sortie, arpente les routes de France et assassine paysans, bergères et autres petites gens.

Un scénario en béton pour un film transposant le schéma d’une enquête policière en milieu rural. On pense au Corbeau de Clouzot doublé d’un roman de Jim Thompson. Une réussite auréolée d'un César du Meilleur acteur pour Michel Galabru.

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Tous publics
Prix : 14,99 €
disponibilité
10/03/2015
image
BD-50, 126', zone B
2.40
HD 1 080p (AVC)
16/9
bande-son
Français DTS-HD Master Audio 2.0 (mono doublé à droite et à gauche)
Audiodescription
sous-titres
Français pour sourds et malentendants
8
10
image
Magnifique. Cette image est vraiment d'une fraîcheur inattendue. Alors oui, le filtre de réduction de bruit (DNR) est un peu visible en arrière‑plan (quelques contours mouvants et scintillants), mais le rendu est tellement beau, contrasté et lumineux, qu'on l'oublie bien vite. Une très (très) belle restauration HD (ne vous fiez pas aux photos ci-contre, ni à la bande-annonce d'époque). Merci Studiocanal.
7
10
son
Le gain de qualité se sent côté son aussi, mais de manière moins flagrante. Une bonne stéréo autant en intérieur qu'à l'extérieur. Parfois légèrement agressive sur la musique, mais trois fois rien.
5
10
bonus
- Interview de Bertrand Tavernier et Philippe Noiret (35')
- Interview de Michel Galabru (27')
- Bande-annonce
Bertrand Tavernier et Philippe Noiret reviennent sur le tournage d'une séquence en particulier. Un régal au cours duquel le réalisateur avoue notamment aimer garder au montage les petits incidents de tournage. Quant à Galabru, encensé par les deux premiers pour son feeling extraordinaire, il revient sur cette phrase de son épouse qui le forcera à se présenter à la cérémonie des César un peu contre son gré : « Alain Delon, lui, il ira, parce qu'il en a… ». Ni une ni deux, Galabru ira chercher sa récompense, contrairement à Delon, qui ne se déplacera pas.
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