par Jean-François Lefèvre
26 janvier 2009 - 15h31

Le grand bleu

année
1988
Réalisateur
InterprètesJean Réno, Rosanna Arquette, Jean-Marc Barr
éditeur
genre
notes
critique
5
10
A

Depuis toujours, Jacques et Enzo se livrent le même défi : rester le plus longtemps sous l'eau en apnée. Timide, taciturne et toujours très marqué par la mort de son père, Jacques ne paraît dans son élément que sous l'eau. Tout le contraire d'Enzo. Un jour, la belle Johana fait irruption dans leur vie.

Film culte pour une majorité de trentenaires, Le grand bleu (vingt ans, déjà…) n'en demeure pas moins un film lent, bavard et beaucoup trop long dans cette version. Restent les images aquatiques portées par la musique d'Éric Serra. Sans elles...

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Tous publics
Prix : 29,99 €
disponibilité
26/11/2008
image
2 BD-50 + 1 DVD, 168', zone B
2.35
HD 1 080p (Mpeg4 AVC)
16/9 natif
bande-son
Français DTS-HD Master Audio 5.1
sous-titres
Français pour malentendants, anglais
8
10
image
Un peu de grain, une définition pas toujours très tranchante, mais des couleurs radieuses, des contrastes bien affûtés et des noirs ultra-profonds. L'ensemble laisse une impression très agréable. Ce n'est pas encore parfait, mais comparé à tout ce que nous avons pu voir jusqu'à maintenant, le Blu-Ray offre la meilleure qualité à ce jour.
8
10
son
Superbe exploitation de la musique d'Éric Serra, avec notamment une redoutable densité de basses, une belle aération frontale et un joli soutien des canaux arrière lors des scènes sous-marines. C'est d'autant plus efficace que ça donne envie de réécouter le CD.
7
10
bonus
- Réglages audio-vidéo
- Atlantis (1991) en Blu-Ray
- L'aventure du Grand bleu (96')
- Retour sur le festival de Cannes 1988 (40')
Après le succès du Grand bleu et Nikita, Luc Besson « l'homme-poisson » se remet à l'eau et nous fait visiter son petit paradis : les fonds marins. Un espace où les êtres humains et la société moderne n'ont pas droit de cité. Dauphins, requins, raies, pieuvres, crabes, mérous, sardines, otaries… tous font leur show sur la musique d'Éric Serra. Nous sommes en 1991. Auréolé d'un nouveau statut de prodige du cinéma français, Besson parvient à dépasser le million d'entrées en salles avec un documentaire d'à peine 80 minutes qui présente moins d'intérêt qu'un Ushuaïa Nature ou une bonne vieille odyssée du commandant Cousteau. Le reste des bonus est passionnant. Les fans seront aux anges.
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