par Carole Lépinay
27 juin 2012 - 12h30

Haven saison 2

année
2011
Créateurs
InterprètesEmily Rose, Lucas Bryant, Eric Balfour
éditeur
genre
notes
critique
5
10
A

Toujours en proie à des phénomènes paranormaux, la ville de Haven demeure la principale préoccupation des agents Audrey Parker (Emily Rose) et Nathan Wuornos (Lucas Bryant). Leur mission : exorciser la petite bourgade de sa malédiction originelle, car depuis des générations, les troubles ainsi que le nombre d’individus possédés prolifèrent.

La deuxième saison de Haven démarre au quart de tour, avec chute de batraciens et invasion d’insectes plutôt agressifs, afin que l’on saisisse littéralement la métaphore punitive des dix plaies d’Égypte. Parker, l’héroïne ultra‑lucide, dont la quête d’identité coïncide avec le sauvetage des habitants, s’humanise tout doucement. Malgré son infaillibilité à toute épreuve, elle connaît sa première relation affective avec l’un d’entre eux. De son côté, Nathan, fraîchement orphelin, fait éclater les déviances officieuses du comté fantastique. D’autant plus que les manigances de Duke Croker (Eric Balfour) pourraient bien à voir avec la part maudite et l’étrangeté environnante…

Cette saison se prolonge ainsi avec les secrets enfouis d’une communauté naturellement associée à une quatrième dimension. La malédiction se décline au fil des épisodes, grâce à la pluralité terrifiante de ses tares, parée de ses paraboles bibliques et d’un soupçon de cannibalisme (une nouveauté). Une saison efficace et originale qui évite le grand piège de la redondance.

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Tous publics
Prix : 39,99 €
disponibilité
13/03/2012
image
4 DVD-9, 41' par épisode, zone 2
1.78
SD 576i (Mpeg2)
16/9 compatible 4/3
bande-son
Français Dolby Digital 5.1
Français Dolby Digital 2.0
Allemand Dolby Digital 2.0
sous-titres
Français, anglais pour malentendants, allemand
8
10
image
Encore une série qui a un sacré peps en DVD. Aucune faiblesse au niveau de la définition, que du bon du côté des couleurs, des contrastes maitrisés, ce serait parfait s'il n'y avait pas ces effets spéciaux de petit calibre.
7
10
son
Pas d'énorme différences entre la VF 2.0 et VO 5.1. Le découpage frontal de la VO est forcément plus précis, mais en ce qui concerne la spatialisation des scènes d'action et de la musique, la différence est ténue. Les enceintes surround sont sous‑exploitées et le subwoofer ne descend jamais très bas.
3
10
bonus
- Épisode de Noël Douce nuit
- Six modules sur le tournage (30')
- Commentaires audio de l'équipe du film sur neuf épisodes en VO uniquement
- Interview d'Adam Copeland (7')
- Sujet sur l'équipe de la série au Comic Con de New York (51')
- Bandes-annonces
Passons sur les commentaires audio non sous‑titrés, pour s'attarder sur le jeu de questions/réponses organisé au Comic Con de New York.
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