par Carina Ramon
08 octobre 2015 - 18h38

Happy Valley saison 1

année
2015
Créateur
InterprètesSarah Lancashire, Siobhan Finneran, James Norton
éditeur
genre
notes
critique
7
10
A

Catherine Cawood, 47 ans, divorcée, mère de deux enfants dont on apprend rapidement qu'un est enterré dans le cimetière de la ville et que l'autre ne lui adresse pratiquement plus la parole, est un sergent de police apprécié et respecté, implacable avec les petites frappes comme avec les puissants. Quand elle porte son uniforme (dont le fameux gilet jaune), rien ne l'arrête, ni les menaces, ni les coups. Mais une sombre affaire locale téléscope bientôt sa vie privée compliquée, entre traumas du passé, rangées de maisonnettes toutes identiques et décors grisous.

Au‑delà de l'enquête policière qui se suit avec plaisir, Happy Valley dresse avant tout de beaux portraits de femmes, fragiles en apparence mais dotées d'un pouvoir de résilience immense, d'une détermination sans faille et d'une solidarité à toute épreuve. Face à elles, des hommes couards, dangereux, sournois. Deux façons opposées de voir la vie. Mais pour Catherine, déjà durement ébranlée, une seule façon d'avancer.

Sorte de Broadchurch au féminin, Happy Valley compte sur ses racines populaires pour planter le décor d'une touchante chronique sociale et intime.

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dvd
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Tous publics
Prix : 19,99 €
disponibilité
07/10/2015
image
2 DVD-9, 6 x 60', zone 2
1.78
SD 576i (Mpeg2)
16/9 compatible 4/3
bande-son
Français Dolby Digital 2.0
Anglais Dolby Digital 2.0
sous-titres
Français
7
10
image
Bonjour l'ambiance. Tournés dans la région des vallées du Yorkshire, ces six épisodes nous plongent entre champs et petite ville populaire où il ne fait pas forcément bon vivre. En hiver de surcroît. Cela dit, l'image affiche une belle précision malgré le manque de soleil et un rendu plutôt haut de gamme pour une série TV. La BBC One sait indéniablement y faire.
7
10
son
Une stéréo qui suffit amplement, qu'il s'agisse des passages plus intimes ou des « scènes d'action » (car il y a en a). Tout est clair, sans accroc voire tonique, parfois, pour du 2.0. Tout comme le générique d'ouverture de Jake Bugg (Trouble Town) qui réveille nos enceintes à chaque nouvel épisode. Et si les deux mixages se valent, la VO est toutefois vivement conseillée pour l'immersion procurée. Sacré accent quand même !
0
10
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