Ghost Rider
Parce qu’il souhaite sauver son père du cancer qui le ronge, son rejeton signe un pacte avec le Diable. Celui-ci lui offre une guérison miraculeuse en échange de son âme. Sauf que Daddy finit par mourir et que le brave fiston se retrouve contraint de jouer, à la nuit tombée, les chasseurs d’âmes égarées de l’Enfer. Son pseudo : « Rider ».
Plus que du film, on aura surtout parlé de la moumoute de Nicolas Cage lors de la sortie de Ghost Rider sur les écrans. Il faut dire que sur le plan purement cinématographique, c’est maigre. Tout droit sorti du vivier Marvel Comics (comme Daredevil et Spiderman), Ghost Rider enchaîne sans queue ni tête les morceaux de bravoure. Cela dit, question effets spéciaux, on applaudit (voir l’ahurissante ascension en moto d’un gratte-ciel !).
Une distraction tout feu tout flamme volontairement adoucie pour ne pas choquer le jeune public (moins de 10 ans s’abstenir malgré tout).