Everest
Mai 1996. Rob Hall (Jason Clarke), alpiniste chevronné, a monté une société spécialisée dans les expéditions commerciales vers les plus hauts sommets du monde. Ce jour‑là, il accompagne de riches clients et un journaliste dans l'ascension d'un des versants de l'Everest. Mais pendant la descente, et alors que l'équipée a pris du retard sur le timing prévu, une tempête de neige s'annonce...
Inspiré de faits réels, ce film de survie en haute altitude plonge le spectateur en apnée pendant près de deux heures. Et le réalisateur islandais Baltasar Kormákur (État de choc) ficelle le tout avec suffisamment de réalisme et de bon dosage entre intimité et spectaculaire pour qu'on reste littéralement suspendu au piolet et à la ligne de vie de ces aventuriers de l'impossible qui, pour la plupart, laisseront leur vie dans cette descente.
Une bonne surprise qui parvient à éviter les pièges du genre sans jamais le trahir.