par Carole Lépinay
10 octobre 2014 - 15h17

Dreamscape

année
1984
Réalisateur
InterprètesDennis Quaid, Max von Sydow, Christopher Plummer, Eddie Albert, Kate Capshaw, David Patrick Kelly
éditeur
genre
notes
critique
5
10
A

À la tête d’un projet scientifique top secret financé par le gouvernement américain, le docteur Paul Novotny (Max von Sydow) recrute des individus doués de télépathie afin qu’ils s’immiscent dans l’inconscient de patients souffrant de troubles du sommeil. Il sollicite alors l’aide de son ancien protégé, Alex Gardner (Dennis Quaid), un expert de la pratique. Embarqué dans le projet, Gardner découvre rapidement que les jours du président des États‑Unis, victime à son tour de cauchemars atroces, sont en danger.

Pourvu d'une facture hyper‑Eighties, Dreamscape fait figure, en 1984, de série B innovante, grâce notamment à son avalanche d’effets spéciaux synthétiques qui servent à marquer la frontière ténue entre le cauchemar et la réalité. Bien sûr, le glissement de l’un vers l’autre ne s’accomplit pas sans quelques complots menaçants pour le monde. Ainsi, Alex doit à tout prix sauver le président de ses mauvais rêves, au risque de voir l’avenir de la planète compromis.

Mais l’argument aussi absurde que la mission subconsciente périlleuse permet l’échappée de créatures oniriques terrifiantes (l’homme‑serpent intègre le top 10 des monstres flippants) et l’anticipation subliminale d’un monde post‑Guerre Froide, dévasté par l’ère atomique.

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Tous publics
Prix : 19,99 €
disponibilité
20/08/2014
image
BD-50, 99', zone B
1.85
HD 1 080p (AVC)
16/9
bande-son
Français DTS-HD Master Audio 2.0
Anglais DTS-HD Master Audio 5.1
Anglais DTS-HD Master Audio 2.0
sous-titres
Français
7
10
image
La dernière fois que nous avons vu Dreamscape, l'image était d'une qualité déplorable. Cette édition Blu-Ray corrige le tir sans être vraiment irréprochable. La définition n'est, en effet, pas mirifique, les contrastes tout juste corrects et les couleurs toujours un peu flétries.
5
10
son
Ce que l'on retient encore aujourd'hui de ce film, c'est l'étonnante partition de Maurice Jarre. Une bande originale électronique restituée avec davantage de générosité et de clarté sur la VO. La VF est malheureusement assez médiocre, avec une intégration discutable des doublages et des bruitages factices. La VO 5.1 n'est pas d'une précision exceptionnelle, mais offre une restitution bien plus naturelle.
3
10
bonus
- Entretien avec Dennis Quaid (15')
- Bande-annonce
Une interview d'époque plutôt drôle avec Dennis Quaid dans un improbable pull bariolé.
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