par Carina Ramon
08 février 2011 - 13h37

Demolition Man

année
1994
Réalisateur
InterprètesSylvester Stallone, Wesley Snipes, Sandra Bullock, Jack Black, Rob Schneider
éditeur
genre
notes
critique
3
10
A

Au XXIe siècle, un flic de choc, John Spartan (Sylvester Stallone), poursuit le plus dangereux des criminels, Simon Phoenix (Wesley Snipes), jusque dans son repaire. Il tombe alors dans un piège : le hangar explose et avec lui une dizaine d'otages. Accusé d’homicide involontaire, Spartan est condamné à se faire cryogéniser. Un siècle plus tard, il est réveillé pour achever sa mission. Mais le monde a changé : pacifique, bucolique, politiquement correct, c’est un paradis sans défense...

Amateurs de SF gonflée aux stéroïdes et décolorée à l'eau oxygénée, Demolition Man est fait pour vous ! Un recueil de tout ce que le début des années 90 a aujourd'hui de kitch et de suranné. Cela dit, cette version HD a le mérite de tenir notre attention jusqu'au bout tant elle donne un coup de jeune aux trois comédiens, Sandra Bullock notamment.

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Tous publics
Prix : 14,99 €
disponibilité
02/02/2011
image
BD-50, 115', zone B
2.35
HD 1 080p (Mpeg4 AVC)
16/9 natif
bande-son
Français Dolby Digital 5.1
Anglais DTS-HD Master Audio 5.1
Espagnol Dolby Digital 5.1
Allemand Dolby Digital 5.1
Tchèque Dolby Digital 5.1
Russe Dolby Digital 5.1
sous-titres
Français, anglais sourds et malentendants, allemand sourds et malentendants, italien sourds et malentendants, espagnol, néerlandais, tchèque, danois, finnois, grec, norvégien, roumain, russe, suédois, hindi, chinois
7
10
image
Le précédent DVD nous avait laissé une impression d'inachevé avec un voile blanc dommageable pour la photographie, et des arrière‑plans qui ressemblaient à un plat de lentilles vu les fourmillements et les nombreux moirages. Ici, la compression retrouve sa raison d'être et livre une prestation honorable. On aurait apprécié encore plus de précision, mais l'ensemble s'en sort bien. La sensation de « blancheur » se fait à peine sentir. En revanche, la HD accentue le côté décalé de la mise en époque futuriste et certains décors cheap.
7
10
son
On reste centré à l'avant, en VF comme un VO, même si cette dernière fait ce qu'elle peut pour porter la partition d'Elioth Goldenthal du mieux possible, et faire vrombir quelques effets à l'arrière. On reste dans le correct sans atteindre bien évidemment la puissance des films actuels du même genre.
2
10
bonus
- Commentaires audio du réalisateur et du producteur Joel Silver en VO uniquement
- Bande-annonce
Non‑anglophones, passez votre chemin, les commentaires sont uniquement en VO.
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