par Éric Le Ven
11 mars 2013 - 14h26

Death Race : Inferno

année
2012
Réalisateur
InterprètesLuke Gross, Tanit Phoenix, Danny Trejo
éditeur
genre
notes
critique
3
10
A

Pour gagner sa liberté, Carl Lucas, alias « Frankenstein », n'a plus qu'une course à remporter. Et c'est en Afrique du Sud, dans le désert du Kalahari, que se déroulera cette dernière odyssée mécanique du pilote masqué…

Spécialement calibré pour le marché vidéo, les amateurs de grosses cylindrées, de tuning, de bastons illisibles et de gros rock qui tâche, ce troisième opus de Death Race remplit très honnêtement sa mission.

Avec en prime, des « gueules » connues : Danny Trejo (qui vient de faire un retour remarqué dans Sons of Anarchy saison 4), Robin Shou, Ving Rhames et Dougray Scott. En revanche, on préférait nettement Jason Statham à Luke Gross.

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Tous publics
Prix : 19,99 €
disponibilité
26/03/2013
image
BD-50, 105', zone B
1.85
HD 1 080p (AVC)
16/9 natif
bande-son
Français DTS 5.1
Anglais DTS-HD Master Audio 5.1
Italien DTS 5.1
Espagnol DTS 5.1
Allemand DTS 5.1
Japonais DTS 5.1
sous-titres
Français, anglais, anglais pour sourds er malentendants, arabe, danois, finnois, hindi, hollandais, norvégien, suédois, italien, allemand
8
10
image
Même si, visuellement, l'ensemble est clairement fauché, la qualité d'image s'avère très correcte : la définition est bien affûtée et les contrastes puissants. En revanche, les couleurs restent limitées avec une prédominance des teintes grisées et terreuses.
8
10
son
Les séquences de course font évidemment rugir les canaux arrière et le subwoofer sans parcimonie ni soucie du détail. C'est puissant, brutal et volumineux. Du bon gros son 5.1 boursouflé qui se montre d'ailleurs bien meilleur et bien mieux cadré sur la VO DTS-HD MA 5.1 qu'en VF DTS.
3
10
bonus
- Commentaire audio du réalisateur
- Scènes coupées (12')
- Making of (11')
- Course à la mort (6')
- Montage musical de plans coupés (5')
- Zoom sur le personnage de Danny Trejo (5')
- Scène d'introduction alternative
Passons sur cette interactivité qui, à force de ne pas se prendre au sérieux, n'est pas crédible une seule seconde. Les commentaires audio sont superficiels et les reportages sans intérêt.
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