Avec ses thématiques qui opposent le Bien et le Mal sur fond d'écologie (la Terre face au tarissement de ses ressources, déjà), l'histoire d'Under the Dome est caractéristique de l’œuvre du maître, passant au microscope la nature humaine en général, et américaine en particulier. Ainsi, Chester Mill, une petite ville fictive américaine, se trouve soudainement coupée du monde extérieur par une paroi translucide, indestructible et infranchissable. Sous le dôme, les personnalités se révèlent et les haines s’exacerbent.
Un dôme pas si surréaliste
Une série que l'on peut voir d'un œil nouveau aujourd'hui, après les années Covid et leurs confinements de populations comme autant de mises sous dôme partout dans le monde. On retrouvera aussi un casting solide, Dean Norris en tête (Breaking Bad), la Canadienne Rachelle Lefevre (Victoria dans la saga Twilight) et l'Américain Mike Vogel (Sex/Life).
Une série non sans défauts (tout est gentiment policé, les scènes d’amour tièdes, les scènes d’horreur n’en sont pas vraiment et les sous-intrigues pas toutes au niveau) mais clairement addictive qui se poursuivra avec deux saisons supplémentaires, toutes disponibles sur Prime Video à partir du 16 juin.