La plateforme de Netflix fait donc évoluer la technologie de compression utilisée pour visionner ses contenus sur l'environnement mobile Android vers l'AV1, en lieu et place du VP9 jusqu'ici à l'œuvre.
La parole à Netflix
Bien sûr, les fichiers sont pour le moment restreints en nombre mais leur nombre est appelé à croître rapidement. Netflix précise aussi que ses ingénieurs sont déjà en train d'expérimenter l'usage de l'AV1 à travers d'autres supports. De même, le service révèle que des discussions sont déjà en cours pour intégrer le décodage de l'AV1 dans de multiples périphériques et processeurs, dans un avenir proche.
AV1, késako ?
Pour rappel, l'AV1 est un codec de compression, concurrent du , proposé par la fondation Alliance for Open Media (AOM) supportée par de grands noms de la technologie comme Microsoft, Apple, Google, Microsoft, Amazon, Facebook, Cisco, Mozilla et Netflix, qui intégreront l’AV1 sur leurs machines et applications.