La Royal Society for Public Health en Grande-Bretagne a mené une étude sur près de 1 500 jeunes âgés de 14 à 24 ans pour déterminer l’impact des réseaux sociaux sur la santé mentale, ces derniers ayant pour effet de générer un sentiment de compétition et de pression sociale. Quatorze facteurs ont été étudiés, parmi lesquels l’anxiété, la dépression, la solitude, l’image de soi ou la possibilité de s’exprimer.
Sur les cinq réseaux sociaux les plus populaires (cf. Illustration ci-dessous via Statista), Instagram décroche la palme du plus néfaste, alors que YouTube est le moins négatif dans son impact sur la santé mentale.