Il a notamment confirmé que la version rajeunie d’Harrison Ford à l’écran ne dépassait pas les 25 minutes, que la majeure partie du film se déroule en 1969 et que la séquence d’ouverture avec Harrison Ford « jeune » se passe en 1944.
Un beau jeune homme de 79 ans
Pour rajeunir le comédien, Mangold a fait appel à une toute nouvelle technologie de De-Aging. Il a aussi précisé qu’il avait été impressionné par la vélocité dont a fait preuve le comédien de 79 ans, alors qu’il devait bouger comme quelqu’un âgé de 35 ans.
« Nous avions des centaines d'heures d'images de lui en gros plan, en plan moyen et en plan serré dans tous les types d'éclairage, de jour comme de nuit. Le lundi, je filmais Harrison, un homme de 79 ans jouant un homme de 35 ans, et dès le mercredi, je voyais déjà ce que ça donnait avec la nouvelle technologie de De-Aging. C’est ce qui m’a permis de me concentrer uniquement sur le tournage et de ne pas me préoccuper de ce que ça allait donner à l’écran ».
Spielberg et tout Disney valident
Steven Spielberg qui, a vu le film, ajoute : « Je suis allé à la projection avec le réalisateur James Mangold et plein de personnes importantes de chez Disney et tout le monde a adoré le film. C'est vraiment, vraiment un bon Indiana Jones. Je suis vraiment fier de ce que Jim en a fait. Quand les lumières se sont allumées, je me suis tourné vers le groupe et j'ai dit : « Merde ! Je pensais que j'étais le seul à savoir comment en fabriquer un ! » À bon entendeur…
Pour rappel, Indiana Jones et le cadran de la destinée sera présenté hors-compétition au Festival de Cannes 2023 et sortira dans les salles de cinéma hexagonales le 28 juin prochain. Source :