Complètement largué, Largo ?

le 31 juillet 2024 - 16h01

Bangkok, Birmanie, épaisses forêts canadiennes… Film carte postale par excellence, ce troisième Largo Winch ne fait pas mieux que les deux premiers opus. Pire, il s'éloigne totalement des BD pour ne rien inventer de nouveau, ni même faire coller son héros milliardaire aux affres de notre époque. À ce niveau-là, il y avait pourtant le choix.

Il y a quand même quelques séquences et scènes d'action qui se regardent sans déplaisir, c'est déjà ça. Tout commence quand Noom, le fils de Largo Winch, est enlevé et qu'un de ses associés en affaires se suicide. Tout va alors se retourner contre l'héritier du Groupe W, accusé à tort d’être le responsable…

 

La suite de notre critique à découvrir en cliquant sur Largo Wingh : le prix de l'argent.

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