Roy Pulver (Frank Grillo), un retraité des forces spéciales, revit en boucle la même épouvantable journée s’achevant, immanquablement, par son assassinat. Il découvre l’existence d’un projet gouvernemental secret mené par le Colonel Ventor (Mel Gibson). Pour mettre fin au cauchemar, Pulver doit s’améliorer, éviter les nombreux pièges de cette journée fatale et stopper cette folie qui le menace lui ainsi que sa famille.
Par le très énervé Joe Carnaghan
C’est une vraie curiosité que ce Boss Level, signé par le réalisateur énervé Joe Carnahan (Mi$e à prix, L’agence tous risques, Narc, co-scénariste de Bad Boys for Life). Car si le pitch de Boss Level n’est pas sans rappeler l’excellent Edge of Tomorrow de Tom Cruise sorti en 2014, il s’agit d’un projet plus ancien.
Au sortir du Territoire des loups en 2012, Joe Carnaghan avait en effet annoncé un projet baptisé Continue, qu’il décrivait comme « Un jour sans fin version film d’action ». Le projet avait été enterré la même année avant que Boss Level -le nouveau titre du film- ne démarre sa préproduction en 2017. Les 27 jours de prises de vues ont été réalisés en 2018 pour un budget de 45 millions $, mais la fenêtre officielle de sortie cinéma en août 2019 semble avoir été ratée pour des raisons mystérieuses. Abandonné par Entertainment Studios, le film finira par sortir sur la plateforme Hulu aux États-Unis en mars 2021, et donc prochainement dans une double édition Blu-Ray et DVD de Metropolitan chez nous.
Du beau monde au casting
Outre l’acteur Frank Grillo (Kingdom, American Nightmare 2, Captain America le soldat de l’hiver), on retrouve du beau monde au casting : le revenant Mel Gibson (Blood Father) -qui a paraît-il réussi à accidentellement casser la mâchoire de l'ex-chamion de MMA Frank Grillo lors d’une séquence de combat- ainsi que Naomi Watts (Mulholland Drive, Twin Peaks the Return), Michelle Yeoh (Tigre et dragon, Star Trek Discovery) ou encore Annabelle Wallis (Peaky Blinders, La momie).
Pour l’instant, l’éditeur n’a pas communiqué les bonus prévus mais, si l’on en croît cette interview de Frank Grillo et Joe Carnahan (en VO), il y a du lourd à espérer côté anecdotes et scènes coupées.
