Prêt pour 30 secondes de pur bonheur nostalgique, où l’on retrouve la musique, l’esprit et la gouaille des Indiana Jones avec un Harison Ford en pleine forme et du de‑aging convaincant ?
C'est parti, direction le New York de 1969, période « Opération Paperclip » (quand les États‑Unis ont récupéré en échange d’amnisties des centaines de savants nazis juste après la Seconde Guerre mondiale) et course à l’espace avec l’Union soviétique.
Bye Indy
Pendant ce temps, Jurgen Voller (Mads Mikkelsen), membre de la Nasa et ex‑Nazi impliqué dans le programme d'alunissage, a une vision pour le monde. Bien qu’à la retraite, Indy, inquiet de la tournure des événements, va reprendre du service avec, à ses côtés, Héléna (Phoebe Waller‑Bridge), sa filleule, et un vieil ami campé par Antonio Banderas. Le scénario a été écrit par Steven Spielberg et réalisé par James Mangold. Le dernier opus Indiana Jones avec Harisson Ford (80 ans).